Conseil en environnement
Anticiper et réduire les risques liés au dépassement des limites planétaires
En bref
La vocation de Dineji (micro-entreprise) est d’aider les organisations à anticiper et réduire les impacts des aléas environnementaux sur leurs activités, liés au dépassement des limites planétaires notamment le changement climatique.
Je propose une vision globale, généraliste, de ces questions complexes et une aide à la compréhension, définition et mise en œuvre des transformations nécessaires.
Je me positionne principalement sur un rôle d’assistance à maîtrise d’ouvrage, en partenariat avec d’autres intervenants externes si la mission le nécessite.
Sensibiliser aux phénomènes et aux enjeux
avec des outils tels que :
La Fresque du Climat
"La Fresque du Climat est un outil neutre et objectif. Il se fonde sur les données issues des rapports scientifiques du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) dont les recommandations orientent les décisions politiques et économiques à...
Les Ateliers de l’Adaptation
"Le changement climatique est là. Ses impacts se généralisent et s’intensifient. En trois heures, les Ateliers de l’Adaptation au changement climatique donnent les clefs pour faire collectivement les meilleurs choix possibles et éviter les maladaptations. Avec quatre...
Le Jeu du Système
"Atelier collectif et ludique pour sensibiliser sur ce que serait un système durable et résilient, et en débattre. La prospérité et la stabilité pour tous, compatibles avec les limites planétaires, sont-elles envisageables ? Cette question doit être traitée de façon...
Analyser les risques et les vulnérabilités
Évaluer l’exposition aux aléas et la sensibilité de l’organisation pour déterminer sa vulnérabilité, par rapport à des risques physiques (climat, énergie…), réglementaires, d’image, de transition…
Identifier les réorientations stratégiques nécessaires / souhaitables
Définir une trajectoire d’adaptation (ou des scénarios) en interrogeant : raison-d’être, modèle économique, métiers, chaîne de valeur, écosystème de l’organisation…
Préparer et accompagner la mise en œuvre (assistance à maîtrise d’ouvrage)
Élaborer des plans d’action concrets : transformation d’activités, de la gouvernance, relocalisation, acquisition de compétences, développement de coopérations…
Évaluer le résultat des transformations
Parce que les risques environnementaux évoluent : inscrire l’organisation dans une démarche d’évaluation et amélioration permanente de sa capacité de résilience.
Qui suis-je ?
Agent de la fonction publique territoriale depuis fin 2013, j’exerce cette activité de conseil à titre accessoire dans le cadre d’un cumul autorisé. Je ne prends qu’un nombre limité d’engagements, afin d’assurer le fameux triangle d’or : qualité, coût, délai.
Je prépare actuellement un plan d’adaptation sectoriel au changement climatique à l’échelle régionale. Formateur occasionnel auprès de collectivités pour le Centre National de la Fonction Publique Territoriale (CNFPT), je dispose d’une boîte à outils permettant de proposer des séquences sur mesure de sensibilisation aux frontières planétaires.
Le conseil en stratégie et la gestion de projet sont le socle de mes compétences professionnelles, acquises dans le domaine des services web de 1998 à 2010.
Raison d’être
Les conséquences du changement climatique sont de plus en plus perceptibles et vont continuer de s’accroître tant que la neutralité carbone ne sera pas atteinte au niveau mondial. Au-delà de ce phénomène, la plupart des activités humaines pourraient être affectées par le dépassement des « limites planétaires », les tensions sur certaines ressources et les risques de transition.
Il est nécessaire de se préparer à des impacts qui s’annoncent importants, en les anticipant au lieu de réagir dans l’urgence.
L’adaptation ce n’est pas :
- un renoncement : l’adaptation doit aller de pair avec la réduction des impacts des activités humaines sur l’environnement (« atténuation ») ;
- une science exacte : c’est une démarche à nourrir de données aussi solides que possible, mais aussi le fruit d’hypothèses sur l’avenir et d’appréciations subjectives sur ce que l’on souhaite le plus préserver.
L’adaptation, c’est plutôt :
- selon la formule consacrée : « éviter l’ingérable, gérer l’inévitable* » ;
- réduire l’exposition et les vulnérabilités en cherchant un maximum de co-bénéfices ;
- engager des transformations bien au-delà d’ajustements à la marge ;
- rendre l’économie, les territoires et les systèmes sociaux capables de faire avec l’évolution de l’environnement (I4CE).
*expression attribuée au climatologue italien Filippo Giorgi.
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